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« La violence laisse des marques sous la peau » : une étude révèle que le traumatisme provoque des changements génétiques sur plusieurs générations

Une étude universitaire américano-jordanienne sur des réfugiés syriens démontre que que le fait de subir des violences et des traumatismes laisse une empreinte héréditaire sur le génome humain.



Une étude américano-jordanienne révèle que les traumatismes liés à la violence chez les réfugiés syriens provoquent des modifications génétiques héréditaires transmissibles sur plusieurs générations. L'étude a identifié des modifications génétiques communes en analysant des échantillons salivaires de femmes réfugiées syriennes exposées à la violence et de leurs descendants.

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